
* Rien au monde ne se comprend mieux que deux douleurs semblables.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 267)
* Quand on parle de mourir, on ne se tue guère.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 383)
* Rien ne grise comme le vin du malheur.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 393)
* La police doute toujours de tout.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 412)
* Les femmes tendent au but à travers les lois, comme les oiseaux que rien n’arrête dans l’air.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 445)
* Le génie en toute chose est une intuition.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 453)
* Il est dans l’esprit du poète de préférer un supplice à un jugement.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 502)
* Les femmes vouées aux seuls liens de leur bienséance […], se moquent des lois que les hommes ont faites.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 520)
* La solitude […] c’est la souffrance multipliée par l’infini.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 612)
* L’ignorance partage les privilèges de la finesse.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 656)
* Un même malheur, tout aussi bien qu’un bonheur mutuel, met les âmes au même diapason.
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 679)
* Les fantaisies d’une femme réagissent sur tout l’Etat!
(© Honoré de Balzac, Splendeur et misères des courtisanes, Livre de Poche, 2008, pàg. 679)